ESS 1 – MCS 0 : Ouadadh sauve la mise

Stade 8-Mai 45, temps clément, affluence nombreuse, arbitrage de Hadad assisté de Belgrinat et Badache.
ESS : Feradji, Raho (Yekhlef), Benchaïra, Diss, Laïfraoui, Francis, Djediat, Belkaïd, Hadj Aïssa (Bouazza), Hemani, Souguer, Ziaya
Entraîneur : Ait Djoudi
MCS : Ouadah, Belhoul, Hadad, Mekhiche, Goucem, Saci, Ouslati (Der??), Harkas, Sahraoui, Ould Taguidi (Sedik), Bouhafs
Entraîneur : Mechiche
Averissements : Belhoul (MCS), Raho (ESS).
But : Djediat (SP 68’)

Le grand salut revient au portier saïdi Ouadah qui a anéanti toutes less actions nettes de scorer par Zyaya à la 5’ bien servie par H. Aissssa, Hemani à la 10’ et Souguer à la 15’, trois concrétisations furent échouées grâce à ce portier qui étala toute sa classe pour rassurer ses coéquipiers après ce premier orage sétifien, les poulains de Mechiche bien regroupés en défense et optant pour le contre par l’intermédiaire e Ould Taguidi, ce dernier d’ailleurs a failli ouvrir le score si ce n’est la belle parade de Ferrradji, l’ESS par sonnn meneur de jeu H. Aissa a distillé plusieurs balles à ses attaquants «internationaux» qui encore une fois confondant réalisme et précipitation, n’ont pu trouver le chemin des filets.
En seconde période, c’est le même scénario, une domination totale des locaux devant une muraille saïdie a donné du fil à retordre au coach Ait El Djoudi, malgré les changements opérés, la solution fut vaine jusqu’à la 68’ où le référé Hadada accorda le penalty sur une faute de Raho, elle sera transformée par Djediat (qui vaincra le signe indien). L’essentiel a été fait et le public nullement convaincu de la prestation des «stars» sétifiens quittera les gradins au coup de sifflet final.

Les impressions :
Salama (entr. adjoint MCS) : Le penaty est trop sévère. Nous méritons le nul. L’ESS est une grande équipe. Je félicite mes joueurs pur leur rendement.
Aït-Djoudi (entr. ESS) : «beaucoup de travail nous attend, certains joueurs ne m’ont pas satisfait, nous avons dominé sans pouvoir concrétiser mais notre victoire est méritée.
H. Mustapha