C’est une réponse assez ambiguë que celle qui a été donnée par Hemami. Après avoir affirmé que la rencontre était annulée, il ajoutera un bémol à cela : «En réalité, le dernier mot revient aux deux clubs. Si le Club Africain et l’ESS arrivent à se mettre d’accord sur une date, l’UNAF ne verrait pas d’inconvénient à ce que cette finale se joue.» La déclaration faite par le secrétaire de l’UNAF reflète, on ne peut mieux, que le mot rigueur n’est absolument pas de mise au niveau de l’instance nord-africaine.