C’est une véritable surprise…ou presque ! Si certains sont surpris par le départ de l’entraîneur Castellan en France, à quelques heures seulement d’un match capital face au MCA à Bologhine, d’autres étaient conscients que l’ex-entraîneur eulmi n’allait pas faire de vieux os à la ville de Aïn Fouara. Pas vraiment sur la même longueur d’ondes que la direction, Castellan est la première victime de la bande à Hemmar en attendant qui sera le suivant à être rayé du calepin des dirigeants sétifiens.
Une fuite à l’anglaise
Quelles que soient les raisons qui ont poussé Castellan à prendre ses affaires et quitter Sétif, il n’aurait jamais dû se comporter de la sorte pour un homme qui assume complètement ses actes et son statut de professionnel. Il a abandonné l’équipe à quelques jours seulement d’un match capital, sans même aviser ses supérieurs ou son entourage.
La direction en position de force en cas de conflit
Après 40 jours de travail à la tête de l’équipe première sétifienne Castellan, qui n’a certes pas reçu la moindre avance comme c’était convenu au départ avec le président Hemmar, ne devra pas ester le club en justice. En effet, le contrat n’a été signé que le 4 septembre dernier, et Castellan ne pourra nullement parler de grand retard dans l’encaissement de son dû.